Les meilleures opportunités d'investissement dans les domaines des matières premières et des technologies.

Opportunités Générées par la Crise Actuelle

Une nouvelle crise financière fait rage. La première depuis 15 ans !

En 2008, c'était l'immobilier américain qui était en cause; en 2023, c'est le secteur technologique qui a allumé la mèche.

Certaines banques sont allées une fois de plus au-dessus de leurs moyens. Elles ont financé le secteur technologique - startups et crypto - où beaucoup de promesses ont été faites mais peu d'argent a été gagné. Et cela a fini par se savoir !

Silvergate Capital s'est d'abord effondrée, suivie de Silicon Valley Bank et de Signature Bank.

La première se concentrait sur les entreprises de crypto-monnaie, la seconde sur les entreprises de haute technologie.

 

La Silicon Valley Bank était l'une des 15 premières banques des États-Unis

Jan 31, 2020 Santa Clara / CA / USA – Silicon Valley Bank headquarters

Des milliers de clients de ces banques, particuliers et entreprises, se retrouvent donc avec des comptes vides et doivent attendre que des parties extérieures leur fournissent des garanties.

Cette situation vous semble probablement familière.

Nous avons déjà fait l'expérience de cette situation et nous savons donc parfaitement que ces moments de crise offrent d'excellentes opportunités pour les investisseurs !

Au cours de l'été 2007, les problèmes ont commencés à apparaitre.

Des rapports faisaient état de problèmes dans le marché du financement immobilier - également connu sous le nom de "subprime" – qui ont conduit à la faillite de deux fonds spéculatifs de la banque d'investissement Bear Stearns.

C’est la mèche qui a mis le feu aux poudres.

Au printemps 2008, JP Morgan rachète Bear Stearns, désormais en difficulté, pour quelques dollars symboliques.

En Europe, BNP Paribas bloque des fonds immobiliers et, en Angleterre, la banque Northern Rock est soudainement placée sous perfusion financière.

L'année 2008 a été très agitée et personne ne savait ce qui allait se passer. Un virus mortel avait contaminé le système financier.

La bombe est tombée en septembre, lorsque l'une des cinq plus grandes banques d'investissement américaines, Lehman Brothers, a fait faillite, provoquant un tsunami dans le système financier mondial. Toutes les banques ont été touchés.

Avant de voir qu’une crise offre toujours les meilleures opportunités, penchons-nous d’abord sur l'origine du problème qui est un problème persistant et récurrent.

Il provient du système de « fractional reserve banking » :

Une banque qui détient les dépôts de ses clients, peut en prêter des multiples.

Par exemple: Une banque X dispose de 100 euros de dépôts. Selon les règles du système fractionnaire, elle peut en prêter le décuple (10x). La banque a donc un encours de crédit de 1 000 euros.

 

 

Ce système fractionnel a été mis en place après la Seconde Guerre mondiale pour financer la croissance de l'économie. La supposition de départ était que tous les clients ne retireraient jamais leur argent en même temps. Au contraire, les clients et les dépôts allaient augmenter pendant les périodes de croissance et de prospérité.

C'est là que réside l'erreur structurelle.

Car en période de ralentissement économique, les dépôts sont automatiquement mis sous pression, de même que les encours de crédit.

Reprenons notre exemple : Si 10 % des clients de la banque X retirent leurs dépôts, la banque est immédiatement en faillite.

Comme nous vivons aujourd'hui dans un monde financier sophistiqué, les dépôts des clients ne sont pas les seuls à être utilisés. D'autres garanties sont également acceptées, telles que les flux financiers, certains biens immobiliers et, dans certains cas même, des dettes.

Financer des dettes par des dettes. Vous comprenez que tôt ou tard, cela tourne mal…

Les bilans bancaires non garantis ont été le problème en 2008 et le sont à nouveau aujourd'hui.

  • En 2008, la valeur des prêts immobiliers sous-jacents est partie en fumée.
  • En 2023, la valeur des technologies – la partie à risque - est en baisse.

Si l'excédent fractionnaire se transforme en déficit fractionnaire, il n'y a qu'une seule façon de résoudre le problème : Il faut ajouter de la valeur au bilan de la banque.

Ce problème peut être résolu de plusieurs manières :

  • Soit gérer la faillite
  • Soit une banque plus importante prend le contrôle de la banque en difficulté et couvre les déficits (cf UBS et Crédit Suisse)
  • soit enfin la banque centrale intervient.

Cette dernière solution est l'ultime recours et elle est même vitale pour un système bancaire fractionnaire.

En effet, un "bank run" (retrait massif des liquidités), tel que décrit plus haut, reste rarement un phénomène isolé.

Dans la plupart des cas, d'autres banques sont également touchées parce que de nombreuses parties sont exposées à la même dette.

Le risque d'un effet de cascade est élevé. À ce stade, il ne reste plus que la banque centrale pour éviter une implosion complète du système bancaire.

La banque centrale fournira alors son bilan pour absorber les "mauvaises" dettes. Après tout, le bilan d’une banque centrale est illimité, lui permettant d’absorber un nombre illimité de dettes. Et c'est ainsi que le système financier reste à flot.

Mais cela a des conséquences : la banque centrale doit racheter les "mauvaises" dettes avec de l'argent frais.

Voici le bilan de la Réserve fédérale (banque centrale américaine) depuis l'éclatement de la grande crise financière de 2008, et on constate qu’il a explosé depuis cette date.

 

Dix fois plus d'argent a été injecté dans le système financier, au détriment de la valeur du dollar américain.

Lorsque la valeur de l'argent diminue, le coût des produits et des services augmente.

Tout cela aboutit tôt ou tard à une inflation massive des prix.

Et ce processus offre à son tour des opportunités uniques. Des opportunités de crise !

Les analystes de Smart Invest connaissent bien ces mécanismes car ils les ont déjà vécus.

L'avantage à l’époque, c’est que personne ne profitait de la crise pour lancer son entreprise ou la faire passer à la vitesse supérieure.

Même constat sur les marchés. Les actions ont été vendues en masse et les investisseurs ont fui la bourse en bloc.

Une crise offre des opportunités particulières et voici les meilleures opportunités que nous avons vues se présenter lors de la dernière crise :

 

1.  Les matières premières

Les injections massives de nouvelles liquidités dans le système financier par les banques centrales ont un effet haussier sur les prix.

Ce sont avant tout les matières premières qui en profitent. D’abord l'énergie et les métaux de base, puis les métaux précieux et enfin les matières premières dites "douces" (y compris les matières premières agricoles et les métaux spéciaux).

 

2.   Les métaux précieux

Les métaux précieux forment une catégorie à part, car l'or et l'argent ont une histoire/ fonction monétaire, en plus d'être des matières premières.

L'argent a été plus souvent utilisé comme monnaie par les gouvernements et aujourd'hui, l'or est toujours le seul actif figurant au bilan d'une banque centrale. L'or et l'argent constituent donc des investissements uniques.

 

3.   Les marchés émergents

Les marchés émergents sont les destinataires privilégiés de toute la création monétaire.

Les marchés d'Asie du Sud-Est ou d'Amérique latine offrent un mélange de faibles coûts de main-d'œuvre, d'infrastructures solides et de forte croissance.

Ces éléments constituent un pôle d'attraction pour l'inflation. Une grande partie de l'argent frais atterrit dans ces régions.

4.   La technologie

Bien que la technologie soit actuellement à l'origine de la nouvelle crise, elle finit également par offrir de belles opportunités. Nous l'avons constaté après la précédente crise. Au final, c'est la technologie qui est ressortie gagnante et tout le monde a voulu y placer son argent.

Les quatre catégories mentionnées ci-dessus ont deux thèmes en commun : la croissance et la valeur. Et pour faire face à la crise, ces deux thèmes sont nécessaires pour restaurer le bilan du secteur bancaire.

Tous ceux qui ont acheté des actions après la grande crise financière de 2008 - à partir de 2009 et après - ont amassé une fortune.

Les actions ont présenté des performances de x10, x100 et même x1 000.

Les gains ont donc été exorbitants !

Voici quelques exemples de gains extrêmes :

 

Pioneer Natural Resources

 

Pioneer Natural Resources est une société indépendante d'exploration et de production de pétrole et de gaz basée aux États-Unis qui opère dans le bassin permien, l'une des régions pétrolières les plus prolifiques des États-Unis.

Depuis la fin de l'année 2009, le cours de l'action de Pioneer a augmenté de plus de 1 400 %.

L'entreprise a bénéficié de la hausse des prix du pétrole, de l'augmentation de la production et du passage réussi aux techniques de forage horizontal et de fracturation hydraulique.

Pioneer Natural Resources a également contrôlé ses coûts de manière proactive, amélioré son efficacité et investi dans de nouvelles technologies.

MercadoLibre

 

MercadoLibre est le Franprix de l'Amérique du Sud, mais aussi l’Amazon car MELI dispose de la plus grande plateforme de commerce en ligne de la région.

En 2009, on pouvait acheter l’action pour 10 dollars. Aujourd'hui, il faut dépenser 1 170 dollars pour la même action. Soit une augmentation de +1 150 %.

Beau résultat pour un épicier à l’origine. Une fois de plus, la technologie et la croissance ont été ici les facteurs décisifs.

Wheaton Precious Metals

 

Wheaton Precious Metals est l'une des plus grandes sociétés de « streaming » de métaux précieux au monde. La société a son siège à Vancouver, au Canada et a conclu des accords de royalties avec des sociétés minières du monde entier.

WPM est moins risquée que les sociétés minières traditionnelles car elle n'est pas impliquée dans l'exploitation quotidienne des mines et elle est donc moins exposée aux risques opérationnels et aux risques liés aux coûts.

La société peut donc maintenir un flux de trésorerie et une rentabilité plus stable, même en cas de fluctuations des prix du marché des métaux précieux.

Cette formule s'est avérée extrêmement rentable, puisque le cours de l'action a été multiplié par 10 depuis la dernière crise. Des coûts faibles et des bénéfices élevés sont toujours bénéfiques pour les actionnaires…

Tesla

 

 

C'est le plus grand producteur de voitures électriques au monde. Mais Tesla fait bien plus que cela. L'entreprise est active dans la production et le stockage d'énergie, la production de batteries, la production de cellules solaires, les logiciels, ...

L'entreprise a été l'un des premiers favoris de nos analystes en 2009. Ils ont acheté l'action à 2,5 $ pour leurs clients. Aujourd'hui, il faut débourser 173 dollars, soit 68 fois plus pour la même action.

A nouveau, les thèmes de croissance et de valeur sont bien présents ici.

Une offre unique pour une période unique : Nous appelons cela des opportunités de crise.

Notre propre expérience en témoigne : investir pendant une période de crise permet d'obtenir des résultats inégalés.

Aujourd'hui, nous sommes à nouveau dans une période de crise unique.

Bénéficiez de ces opportunités grâce aux Rapports mensuels avec les meilleures analyses et actions de trois secteurs clés : Matières Premières, Or et Argent, et Technologie.

 

Retour en haut